Author Archives: Stéphanie Michel Amato

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8 mars 2015

8 mars 2015: Femme, chef d’entreprise et mère de famille: pourquoi j’ai le droit (et le devoir) d’être féministe en 2015

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Journée des droits de la femme oblige (et non journée de la femme !), les phrases toutes faites sur le féminisme sont légion : « c’est plus la peine d’être féministe », « à quoi ça sert en 2015 vous avez l’égalité non ? », « c’est la journée de la femme on va être gentil avec vous », … Cette avalanche de réflexions, qui ne partent pas forcément d’un mauvais sentiment, m’a donné envie de m’exprimer sur mon engagement et de l’expliquer, dans le cadre de mon blog. Parce que je suis à la fois entrepreneuse et mère de famille mais aussi une femme confrontée comme les autres au regard de la société, que ce soit dans la sphère professionnelle ou privée.

Voici 5 bonnes raisons d’avoir le droit (et le devoir) d’être encore féministe en 2015.

1ère bonne raison : parce que je suis « une privilégiée » et que malgré cela, j’ai été confrontée aux idées reçues

En tant que femme, je suis plutôt privilégiée : élevée par un père féministe avant l’heure (« fais des études ma fille pour ne pas dépendre de ton mari plus tard »), j’ai épousé un homme qui n’a jamais pris ombrage de ma réussite professionnelle et s’est arrêté de travailler pour élever nos enfants avant de repartir lui-même vers une belle carrière. Lorsque j’étais salariée, les dirigeants de l’entreprise ont toujours veillé à recruter des femmes et à leur offrir des postes de direction et depuis que je suis mon propre patron, je n’ai jamais vraiment ressenti de sexisme chez les clients ou mes fournisseurs (juste quelques blagues graveleuses …).

Pourtant, j’ai été confronté à des situations que l’on pourrait juger d’un autre âge lorsque l’on a comme moi la culture de l’égalité. Que ce soit le PDG de l’entreprise pour laquelle je travaillais que l’on annonçait avec «  son harem » (désolée si, sur 5 directeurs, 4 étaient des femmes) , la conseillère de l’ex ANPE, qui me voyant arriver enceinte, m’a gentiment conseillé de rester chez moi et d’accoucher de mon petit 3ème avant de monter ma boite (je suis pas malade, je suis enceinte…) ou l’un de mes clients qui pensait être le roi de la parité car il comptait 50% de femmes dans ses effectifs mais seulement une femme à un poste de direction, ces situations, lorsqu’elles sont vécues par les femmes sont souvent perçues comme un retour en arrière.

2ème bonne raison : parce que j’ai conscience que mes sœurs n’ont pas toutes cette chance

Je ne vis pas au pays des Bisounours. Ce n’est pas parce que la plupart de mes amies ont la même chance que moi d’évoluer dans un milieu peu sexiste, que je dois oublier les autres femmes, toutes celles dont je connais personnellement l’histoire et qui ont été battues par leur compagnon, humiliées par leur père ou réduites au silence pour permettre à Môssieur de briller en société. Ce n’est pas parce que je ne souffre pas de machisme au quotidien que je ne dois pas les défendre. Au contraire. On les a bâillonnées, c’est à nous de faire du bruit pour elles, en éduquant nos enfants (surtout nos fils) et en racontant leurs histoires.

3ème bonne raison : parce que l’égalité en France est inscrite dans les textes mais pas toujours dans le quotidien

Bien sûr, allez vous me dire : « de quoi vous plaignez-vous l’égalité vous l’avez ! ». Dans les textes oui ! Que répondez-vous aux 2 millions de femmes battues en France, à celles qui pour un même poste sont payées 20% de moins que leurs collègues masculins et à celles à qui l’on conseille de ne pas faire d’enfants si elles veulent réussir leur carrière ?

Nos mères et nos grands-mères se sont battues pour avoir l’égalité et nous avons, non seulement un devoir de mémoire vis à vis d’elles, mais aussi l’obligation de continuer le combat, juste par respect pour celui qu’elles ont mené. Les « 343 salopes », les suffragettes, la grande Olympe de Gouge, entre autres, ne se sont pas battues pour pour rien. Nous n’avons le droit de voter que depuis 1945 et le code Napoléon, qui considérait la femme comme une mineure à vie placée sous tutelle de son père puis de son mari, n’a été abrogé qu’en 1975. Un peu fragile pour faire la maline et penser que tout est gagné…

4ème bonne raison : parce que des femmes luttent encore, partout dans le monde, pour conduire un voiture, ne pas être excisées ou ne pas être mariées de force

Même si la France prône la liberté, l’égalité, la fraternité, ce n’est pas vraiment le cas de nombreux pays où, pour aller à l’école ou travailler, les femmes doivent se battre quand on ne les contraint pas à s’affubler de tenues toutes aussi étonnantes que peu pratiques pour avoir le droit d’être médecin ou journaliste. Le concept de la femme indépendante financièrement ou tout simplement de la femme exerçant une activité professionnelle reste encore un concept limité géographiquement parlant… Sans compter les pays qui furent des hauts lieux de la modernité féministe et qui on fait machine arrière en rabotant salement leur code de la famille (et au passage les droits des femmes !)

5ème bonne raison (last but not least) : parce qu’il y a encore du boulot pour faire profondément changer les mentalités et que cela commence au quotidien, à la maison et dans l’entreprise !

Pas de combat pour la place de la femme dans la société sans des hommes qui s’engagent au côté de leurs compagnes. Il y a encore un long chemin à faire pour changer les mentalités et ce dès la naissance. Rien ne prédestine, scientifiquement, une femme à faire le ménage plus qu’un homme (à part les hommes et encore trop souvent, sa propre mère !). Nous sommes forcément différentes des hommes mais notre cerveau fonctionne aussi bien que le leur même s’il est, techniquement, plus petit (sachez tout de même que Einstein avait un cerveau de la taille de celui d’une femme…)

Comme les choses n’avancent généralement pas toutes seules, il faut bien trouver le moyen de les faire progresser. Et pour parcourir ce long chemin, il faut agir faut pas avoir peur de se faire traiter de féministe J

Quelques références qui sont les miennes : un excellent livre de Virginie Despentes qui s’appelle « King Kong Théorie », un recueil d’anecdotes regroupés dans « Vie de meuf » issu d’un blog éponyme, le merveilleux discours d’Emma Watson devant les représentants des Nations Unis et bien sûr la déclaration des droits de le femme et de la citoyenne de Olympe de Gouge.


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jdn tribune d'experts Web et Solutions cross canal

Tribune d’expert pour un éditeur de solutions logicielles e-commerce – Journaldunet.com

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Tribune d’expert de Yannick Maingot – Web et Solutions

 Cross canal : de quoi parle-t-on ?

(Tribune d’expert parue dans le Journal du Net) –  Cross-canal, multicanal… Autant de « gros mots » qui ne sont pas toujours compris, ni même écoutés, des commerçants et e-commerçants qui les perçoivent comme des notions marketing manipulées par des experts. L’e-commerce a représenté un marché de 51,1 mds d’euros en 2013 et a connu une croissance de + 12,5 % mais il ne représente que 10 % du commerce global. Raison de plus pour s’intéresser au cross-canal, cette approche que vous, commerçants et e-commerçants, pratiquez peut-être déjà sans le savoir. Voici quelques réflexions qui vous aideront à tirer pleinement parti de vos actions existantes pour les transformer en véritables opportunités de développement.

 

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Lancer une solution ou un service sur un marché encore peu mature peut s’avérer complexe et/ou particulièrement couteux dans la mesure où il s’agit de démontrer à la fois l’expertise de l’entreprise et la pertinence de son nouveau produit. C’est là que la génération « intelligente »  de contenu, en particulier au travers de la rédaction d’une tribune d’expert, peut se relever une excellente arme…
Si vous souhaitez en savoir plus sur la rédaction et la diffusion d’une tribune d’expert pour votre entreprise ou si vous souhaitez en savoir plus sur nos services de génération de cochonnet, n’hésitez pas à nous laisser un message sur notre page Contact !


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#JesuisCharlie

je suis Charlie

et je le resterai…


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Puisque que 2015 ne rime avec aucun mot de la langue française… faisons rimer cette année avec nos rêves les plus fous !

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Tout le monde vous l’a dit… 2015 ne rime avec aucun mot de la langue française, à part R15, Louis XV, 1515…

Voici une bonne occasion de se souhaiter plein de bonnes choses pour cette nouvelle année, sans contrainte ni limite…

Je vous souhaite donc du bonheur à toute heure, de l’amour tous les jours, une santé sans sourciller et des affaires à ne plus savoir quoi en faire, …

Bref, puisque que 2015 ne rime avec aucun mot de la langue française… faisons rimer cette année avec nos rêves les plus fous !

carte de voeux ajem consultants


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Pour bien commencer 2015, je vous invite à découvrir une très jolie façon de souhaiter la bonne année… Celle de Jacques Brel…

 

Jacques_Brel_1963

 

Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques uns. Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer et d’oublier ce qu’il faut oublier. Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences. Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil et des rires d’enfants. Je vous souhaite de respecter les différences des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir. Je vous souhaite de résister à l’enlisement, à l’indifférence et aux vertus négatives de notre époque. Je vous souhaite enfin de ne jamais renoncer à la recherche, à l’aventure, à la vie, à l’amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille. Je vous souhaite surtout d’être vous, fier de l’être et heureux, car le bonheur est notre destin véritable.
Les vœux de Jacques BREL, 1er janvier 1968 (Europe 1)

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« Je suis passé chez Sosh » : enfin une campagne de pub réussie qui s’appuie sur les réseaux sociaux et le second degré…

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La nouvelle publicité télévisée de Sosh a au moins un premier intérêt : on s’en rappelle ! L’exercice est aussi intéressant que périlleux mais plutôt réussi pour l’opérateur qui non seulement fait le buzz (l’expression est dans la bouche de tous les ados et de leurs parents) mais a su exploiter intelligemment les réseaux sociaux et ses RH. Voici pourquoi j’aime :

  1. l’idée trouve sa source au sein même du réseau Sosh et des communautés d’internautes

Dans le réseau Sosh, les collaborateurs avaient entre eux l’habitude de rire de ce « virelangue » qui rendait difficile la prononciation de la phrase : « Je suis pashé chez Sosh ». Sur les réseaux sociaux également, la blague circulait. C’est ainsi que l’idée a germé de faire une campagne qui utiliserait l’expression pour montrer que, pour une fois, changer d’opérateur était plus facile à faire qu’à dire !

  1. l’agence a fait appel aux réseaux sociaux pour son casting et c’est plutôt bien

Pour le casting, Sosh a choisi de faire appel aux internautes de la communauté Sosh.fr ainsi que sur Facebook et Twitter, en leur proposant de participer à la prochaine campagne de publicité de la marque. D’après Sosh, « les deux réalisateurs du spot – Arthur King et Julien Potart de chez Konbini – ont laissé croire aux participants qu’ils avaient été convoqués pour un simple casting dans un décor minimaliste et coloré, mais c’était en réalité un vrai tournage. Les clients ont éclaté de rire après avoir compris le concept ! ». Résultat, la pub est fraiche, spontanée, il y a un vrai moment de complicité, les acteurs ressemblent aux gens de tous les jours… Ils nous ressemblent, nous les clients ou clients potentiels de la marque ! C’est plutôt bien joué.

  1. Cerise sur le gâteau : vous savez quoi ? Le message passe (bin oui !)

Finalement, ce qui reste le plus intéressant dans cette campagne, c’est que le message passe. On rigole, on se souvient du message, et oui finalement, on se dit que c’est plus facile à faire qu’à dire.

Le vrai plus de cette campagne de publicité, c’est justement qu’elle rassemble des ingrédients efficaces, qui s’appuient à la fois sur l’histoire et la culture de la marque mais aussi sur ses clients et les réseaux sociaux. Voilà une utilisation plutôt intelligente de communautés qui humanisent la relation et rend crédible le spot TV.

Verdict : plutôt une belle réussite !

Je n’en dirai pas autant de la dernière publicité pour Durex, qui, si elle avait au départ la bonne idée de présenter une conversation être une spécialiste du sexe et un couple (qui pourrait être vous et moi), a plutôt mal traité (voire maltraité) le sujet avec des acteurs qui manquent cruellement de naturel (le sujet ne s’y prête pas ? pas d’accord !)


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Lassitude du dirigeant : et si les consultants pouvaient vous redonner envie de vous « éclater » à diriger votre boîte?

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Diriger une entreprise, cela représente du stress, des responsabilités, de la pression  mais aussi beaucoup de plaisir! On n’est pas patron par hasard mais parce qu’on a une âme d’entrepreneur… Quand la motivation n’y est plus, que l’on fait face à la lassitude ud dirigeant, faire appel à un ou plusieurs consultants peut parfois se révéler extrêmement payant.

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Allongée sur une plage de sable fin, quelque part en France, je me faisais la réflexion que mon métier de consultant ne consiste pas seulement à apporter mon expérience et mon savoir-faire aux entreprises. Mon intervention et celle des autres consultants de mon réseau sont aussi sources de motivation pour nos clients. Par expérience, je peux dire que l’influence des consultants sur l’envie des patrons de diriger le bateau est presque aussi forte que leur influence sur l’organisation ou les choix stratégiques de l’entreprise ! Et finalement aussi importante pour la réussite et la performance de l’entreprise …

Idée fausse sur la lassitude du dirigeant et l’intervention des consultants : les consultants sont là quand ça va mal…

Les consultants, dans l’entreprise, sont souvent perçus comme une menace et des oiseaux de mauvaise augure. Pourtant, la plupart du temps, ils sont là pour aider à la transition, pour apporter un regard neuf sur l’entreprise et l’aider souvent à faire face à la croissance et donc à mieux gérer la réussite ! Ce nouveau regard sur l’entreprise se révèle donc souvent positif et pas seulement critique. Car les consultants mettent en exergue les faiblesses mais aussi les forces de l’entreprise. Votre entreprise est une pépite? Les consultants sauront vous le dire et cela vous fera toujours plaisir de l’entendre !

Prendre de la hauteur et sortir le nez du guidon : le double effet kisscool de l’intervention des consultants

Avec le temps, j’ai constaté que l’intervention d’un ou plusieurs consultants n’apporte pas seulement une nouvelle méthodologie ou des bonnes pratiques, mais permet aussi aux dirigeants de regarder leur entreprise et leur rôle de patron autrement. Prendre de la hauteur, sortir le nez du guidon et reprendre plaisir à diriger son entreprise, c’est aussi le deuxième effet Kisscool des missions de conseil !

Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? Bien sûr c’est vous !

Il n’est pas rare de voir des dirigeants être victimes du syndrome de la « lassitude » du dirigeant. Vous êtes à la tête de votre entreprise depuis un certain temps et vous ne prenez peut-être plus plaisir à la gérer. Peut-être même avez-vous oublié que vous étiez le capitaine du bateau, le pilote, bref celui qui rend possible un certain nombre de choses dans l’entreprise. Reprenez votre rôle au sérieux (sans vous prendre au sérieux !) . Non seulement cela ne pourra qu’être bénéfique pour votre entreprise et vos collaborateurs mais vous redécouvrirez la joie que peut vous apporter la direction de votre entreprise.

À bon entendeur…


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22 ! V’là « Les poulets de Loué » qui récidivent !

Cette semaine, j’avais prévu de ne pas écrire sur mon blog, vacances obligent. Mais finalement le trajet entre Nice, Clermont Ferrand et Lacanau m’a laissé assez pantoise face à une publicité rencontrée de nombreuses fois sur le bord de la route… Celle des Poulets de Loué, des récidivistes de la publicité« qui fait parler ». Une fois encore les poulets de Loué font honneur à nos «poulets» qui, comme les organismes de prévention routière en sont quelque peu irrités…

Il faut dire que cette publicité qui, si elle fait le buzz, ne fait pas vraiment l’unanimité … Esprit potache me direz-vous ou provoc de mauvais goût… Sur le site web de la marque, on peut même jouer pour gagner les affiches de la publicité.

poulet de loué la publicité qui fait le buzz

« le bon goût depuis toujours »…

J’avoue ne pas avoir d’avis sur la question tant cette affiche m’a laissée bouche bée … J’avoue avoir tout de même souri en constatant que l’accroche marketing était « le bon goût depuis toujours »… Une devise qui ne doit, visiblement, s’appliquer qu’aux produits…

Si l’objectif était de faire parler de la marque, le but est atteint … Je salue alors l’initiative.

Mais si c’était de mettre en avant la qualité du produit, je suis plus dubitative… Car cela passe finalement légèrement au second plan… Or la publicité doit porter un message… Là on est en droit de se demander si le message produit est bien porté… Je vous laisse le soin de commenter …

Le site de la marque : http://www.loue.fr/


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Rédiger des newsletters et journaux d’information : comment éviter que ca ne rime avec galère?

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Le principal intérêt d’un journal d’entreprise ou d’une newsletter est de permettre à l’entreprise de garder un contact récurrent avec ses clients et de leur transmettre, sous une forme originale des informations commerciales importantes. A condition que newsletter ne rime pas avec galère ! Cet outil, s’il est bien utilisé et appréhendé par l’entreprise, peut se révéler une redoutable arme commerciale et marketing ! Alors pourquoi s’en priver ?

De la difficulté de rédiger des newsletters et autres journaux d’information (sans parler des articles de blogs…)

Pour mettre au point et tirer pleinement parti d’une génération de contenu régulière au travers d’une newsletter, il est indispensable de parvenir à éviter les difficultés inhérentes à ce type de communication à savoir :

  • Maintenir une périodicité qui permette de fidéliser ses clients sans condamner vos équipes à être perpétuellement en comité de rédaction (tous les mois c’est trop, tous les ans c’est peut être pas assez J !)
  • Définir une ligne éditoriale qui soit basée sur du contenu de qualité – à visée commerciale d’accord mais du vrai contenu – et non sur une simple promotion de vos produits. Lister les dernières nouveautés de votre produit ou la promo du mois transforme vite votre newsletter en email (ou courrier) puremet commercial. En résumé, dans votre newsletter, vous devez aborder des sujets – centrés autour de vos problématiques métier – qui intéressent vos clients, qui les éclairent sur leur marché, qui leur apporte une vraie valeur ajoutée : astuces, dossier, interview, retour d’expérience, chiffres clés du secteur, etc…
  • Limiter l’aspect chronophage de la newsletter en privilégiant la réutilisation (textes de blogs, tribunes d’expert, textes ud site web, etc.) et, si cela est possible, en confiant la rédaction des textes à une plume à la fois capable d’écrire des textes de qualité et de tenir compte de vos impératifs et objectifs marketing. Cela s’appelle un rédacteur marketing, un spécialiste de la génération de contenu, un copywriter… appelez le comme vous voulez : ni publicitaire, ni journaliste, il a développé une méthodologie de travail efficace, rédige des textes à visée marketing et génère du contenu métier en phase avec les attentes de vos clients.

recette pour bien rédiger sa newletterMettre en place une méthodologie qui privilégie la réutilisabilité et l’efficacité

Une newsletter ne nécessite pas systématiquement de réinventer la poudre. Vous disposez déjà de tout le matériel nécessaire pour alimenter vos journaux d’information à condition de générer régulièrement du contenu métier pertinent :

  • Retours d’expériences clients
  • Tribune d’experts
  • Plaquettes produits
  • Actualités et promotions
  • Articles de blog
  • Etc.

Tous ces éléments sont des sources non négligeables de contenu exploitable sous diverses formes et réutilisable aisément sur vos blogs, pages des réseaux sociaux et autres outils du web !

Organisation des interviews, gestion du contenu éditorial, respect de délais, relance pour la validation, suivi des graphistes, relecture… La méthodologie reste un élément majeur de la réussite de ce type de projet car nous le savons : ces outils sont souvent très chronophages et surtout… c’est un peu comme le sport. On n’a jamais le temps d’en faire sauf quand on met son cours de Pilates ou de Piloxing dans son agenda + alarme dans le smartphone. Pour les newsletters même combat !

L’envoi de newsletters et de journaux d’information fait partie intégrante de la stratégie de génération de contenu. Mais attention, pas à n’importe quel prix. Rappelez-vous que :

  • Les newsletters doivent être pour vous le moyen de développer l’image de l’entreprise, pas de perdre votre temps et celui de vos équipes…
  • Le plus important, ce n’est pas la newsletter en elle-même… c’est ce qu’il y a dedans… la qualité du contenu participe pleinement au succès de votre newsletter!
  • Écrire une newsletter nécessite une bonne dose de méthodologie et de rigueur, un zeste d’autorité et une bonne plume. Si vous n’avez pas les ingrédients en interne, faites cuisiner la recette à l’extérieur !

 

Si vous avez besoin d’un accompagnement ou d’une formation à ce sujet, n’hésitez pas à nous contacter !

Pour en savoir plus

 


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Always et son #LikeAGirl : servir la marque autant que la cause de ses consommatrices

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Avec sa campagne #LikeAGirl, Always se positionne comme un véritable acteur du marché de l’hygiène féminine et à ce titre prend une posture responsable vis à vis de la condition de la femme.

L’idée de base est simple : l’expression « comme une fille » est souvent utilisée comme une insulte et nombre de jeunes filles ont finalement une mauvaise image d’elles-mêmes une fois devenues adolescentes. Une expression qui n’est absolument pas ressentie comme une insulte par les petites filles. C’est ce que démontre la vidéo baptisée #LikeAGirl.

Lorsque l’on demande à une jeune fille ce que c’est que courir « comme une fille » ou lancer « comme une fille », elle va effectuer l’action en se ridiculisant. Si on pose la même question à une petite fille, elle va courir ou lancer naturellement. Always, par cette vidéo, affirme son engagement auprès des jeunes filles en les aidant à garder cette confiance en elle, qu’elles perdent souvent à l’adolescence.

A la fois outil marketing et message militant, ce contenu sert aussi bien l’image de la marque que la cause de ses consommatrices. Elle éduque les jeunes filles et porte l’image d’une marque responsable et engagée. A ce jour, la vidéo comptabilise plus de 36 millions de vues et a été largement partagée sur les réseaux sociaux.


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