Author Archives: Stéphanie Michel Amato

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Vendre son budget marketing à son boss (et mettre toutes les chances de son coté pour atteindre ses objectifs)

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Vendre son budget marketing à son boss … Ah, le moment redouté de l’année où vous devez justifier votre budget marketing. Vous savez, celui où vous souriez nerveusement face au boss tout en croisant les doigts pour qu’il ne crache pas son café en entendant le montant.

Oui, nous allons parler de CE moment-là.

Voici quelques idées pour vous aider à vendre votre budget marketing, le tout sans finir dans une réunion interminable où tout le monde remet en question vos choix de vie.

Nous vous proposons, pour vous aider, une mise en situation digne des plus grandes séries.

Spoiler : cela parle de Tinder, de salade,  de ROI (return on investment, ou ce truc magique que les boss adorent), de chiffres (mais pas trop), et de psychologie inversée. Oui, tout ça dans une seule scène.

Il ne s’agit pas de défendre mais de vendre son budget marketing à son boss … Moteur

Scène : Dans un bureau éclairé par la lumière d’un écran d’ordinateur, Paul, directeur marketing, se prépare mentalement à défendre son budget marketing devant Lea, sa boss. Il prend une profonde inspiration, ferme son laptop, et s’avance d’un pas déterminé vers le bureau de Paul.

Léa (le boss) :

— Ah, Paul ! Justement, tu voulais qu’on discute de ton budget marketing ? Je t’écoute. Quel est le programme des réjouissances cette année ?

Paul (directeur marketing) :

— Bonjour Léa ! Prête pour le grand saut dans le monde merveilleux du ROI ? (rires un peu crispés)

Léa :

(rire) Ok, je suis curieuse. Dis-moi, combien tout ça va me coûter ?

Paul :

— On y viendra mais avant de parler chiffres, parlons stratégie. Avant de parler du What, parlons du How et surtout du Why. Le marketing est stratégique.C’est un point clé de la stratégie d’une entreprise. Je ne vais pas parler à nouveau des grosses boites qui ont raté leur virage marketing (Kodak, Nokia, tu te souviens ?) car nous sommes plus petits mais le marketing définit l’adéquation entre tes produits et tes clients. Nous aussi, nous avons besoin de vendre le bon produit, à la bonne personne, au bon moment et de ne pas négliger cet aspect stratégique.

Le marketing ce n’est pas magique c’est logique et technologique. 

On a défini une stratégie sur le court, moyen et long terme, maintenant il faut l’appliquer. C’est à cela que sert mon budget. (Il montre le tableur et les graphiques qui tuent…).

Léa :

— Bon, je te suis pour l’instant. Admettons que le marketing c’est important. (Paul manque de s’étouffer). Tu as des actions en face il y a des chiffres, très bien. (Elle voit le montant total du budget). Mais concrètement, pourquoi on a besoin d’investir autant cette année ? On ne pourrait pas juste réduire un peu ?

Paul :

— Y’en a qui ont essayé (Rire).  Soit tu investis, soit tu prends le risque que les autres nous passent devant.   Tu te souviens que je compare souvent le marketing et la vente à la drague ? On ne va pas au premier RDV avec une haleine de chacal et on ne dit pas tout de suite et on ne dit pas tout de suite que l’on adore trainer en claquettes chaussettes dès que l’occasion se présente avec le vieux peignoir offert par sa mère. Bref, on montre le meilleur de soi-même et surtout on prend le temps. Et bien, le marketing c’est un peu comme un date Tinder…

Léa:

— (éclat de rire) Tinder ? Vraiment ?

Paul :

—Sur Tinder, avant de rencontrer quelqu’un, tu fais tes recherches, n’est-ce pas ? Tu regardes les photos, tu lis les descriptions, tu prépares des questions… Tu mets toutes les chances de ton côté. Tu penses long terme. Eh bien, c’est pareil pour le marketing. On ne peut pas arriver les mains dans les poches et espérer des résultats magiques juste parce que qu’on a décidé de faire un date sur Tinder.

Léa :

—Tu es en train de me dire que si on coupe le budget, on est foutu ?

Paul :

— Je ne dis pas qu’on est foutu, mais il faudra pas être surpris si nos concurrents nous font un petit coucou dans le rétroviseur d’ici quelques mois…On peut toujours réduire le budget mais le risque, c’est que nos concurrents, eux, prennent de l’avance sur nous.

Je ne peux pas te garantir que 1 euro investi te rapporte 2 euros mais je peux te garantir que 0 euro investi te rapportera 0 euro…

Si on réduit le budget, il faut s’attendre à dire au revoir à nos leads et nos futurs clients et à notre notoriété. Au contraire, si on garde un bon budget on continue à générer des leads qualifiés et à convertir plus. Tiens, l’an dernier, la campagne LinkedIn, ça nous a rapporté 500 leads avec un taux de conversion de 10 % !

Léa :

— D’accord, pas mal. Mais… c’est combien tout ça ? Tu sais que les chiffres me font un peu peur. On a besoin de faire tout çà ?

Paul :

—Disons que le budget marketing, c’est comme un repas au restaurant. Si tu choisis de prendre une salade verte et un verre d’eau, c’est pas cher, mais ce n’est pas très satisfaisant, hein ? (tête du boss horrifié) à la limite tu restes chez toi et tu manges la même chose, ça ne change pas grand chose… Mais si tu prends le menu complet – entrée, plat, dessert, un bon vin – là, tu es content et tu as vécu une vraie expérience, tu en as eu pour ton argent.

Léa :

— Ok, mais… quel est rapport avec notre budget ?

Paul :

— Eh bien, si tu réduis notre budget, on devra se contenter d’une salade ! Nous ne pourrons mettre en place qu’une petite campagne ou deux, quelques posts sur les réseaux sociaux… bof. Ce qui fonctionne c’est la synergie entre les actions et la répétition auprès de notre cible.

Pour moi faire petit c’est comme ne rien faire, voire jeter l’argent par les fenêtres.

Mais si tu prends le risque d’un vrai budget marketing adapté à nos objectifs opérationnels et stratégiques, là on peut faire des actions à forte valeur ajoutée en phase avec notre stratégie : SEO, publicité, contenu, marketing automation. Bref, tout ce qu’il nous faut pour réellement nourrir notre marque et attirer plus de clients.

Léa :

— Mais le ROI dans tout ça ? J’entends toujours « budget, budget », mais combien ça nous rapporte tout ça ?

Paul :

— Ah, le ROI ! Normal que tu poses la question. Moi-même je me la pose à chaque fois que je mets une ligne dans le budget marketing.  Le marketing ne donne pas des frits instantanément surtout si t veux construire une stratégie de développement sur le long terme.  Il faut du temps, de la régularité et de la persévérance. Mais si tu investis aujourd’hui, dans six mois ou un an, tu auras résultats durables et pérennes. Plus on investit maintenant, plus on aura de clients qualifiés à l’avenir. Chaque action menée aujourd’hui rapportera demain.

Léa :

— Mouais… Mais on parle de quel retour sur investissement là ? Donne-moi des chiffres !

Paul :

— Si tu veux des chiffres, en voici. Prenons l’exemple de notre blog. L’an dernier, avec l’investissement qu’on a fait dans la stratégie de contenu avec la consultante spécialisée, on a vu notre trafic augmenter de 150 % et nos leads qualifiés de 50 %. Si on continue sur cette lancée, avec un budget raisonnable, on peut facilement doubler ces résultats cette année.

Léa :

— Intéressant. Mais attends, tu me parles de blog là ? On a ça ? C’est encore utile les blogs ?

Paul :

— Plus que jamais ! Ça fait partie de la stratégie de contenu que je t’ai expliqué il y a 6 mois. Cela consiste à fournir le bon contenu à la bonne personne au bon moment de son parcours de vente. Rien ne sert de vendre un produit à une personne qui est simplement en cours de réflexion sur le sujet. Elle préfère consulter des contenus éducatifs et des témoignages clients à ce moment là.  On éduque, on inspire, et quand ils sont prêts à acheter, devine à qui ils pensent en premier ? À nous ! Parce qu’on leur aura montré qu’on est là pour eux bien avant qu’ils aient besoin de nous.

Léa :

— Je comprends. Mais bon, est-ce que ça marche vraiment, ces histoires ?

Paul :

— Bien sûr ! Regarde cette entreprise avec laquelle on a travaillé. Après avoir investi dans le contenu, ils ont vu une augmentation de 200 % de leur trafic web et 150 % de leads qualifiés en un an. C’est pas mal, non ? Tout ça grâce à une stratégie marketing bien ficelée. Ça prouve que quand tu mets les moyens, les résultats suivent.

Léa :

— D’accord, tu as gagné. Tu m’as convaincu avec tes histoires de salade verte et blog. Mais il va falloir me fournir un suivi en temps réel des dépenses et des résultats !

Léa :

(clin d’œil) Je te garantis qu’avec ce budget, on va cartonner. J’ai un plan d’actions et un budget que je suis au jour le jour et j’ai toute la traçabilité pour le ROI surtout sur la partie relative au contenu.

Paul :

— (rire) Ah, bien joué. Allez, on valide ce budget !

Léa :

— Merci, Paul ! Et n’oublie pas, le marketing, c’est l’avenir. On ne fait que planter des graines pour notre succès futur.

Paul repart victorieux, son budget en poche et un large sourire aux lèvres. Mission accomplie !

Dans la vraie vie, Paul devra surement à négocier quelques petites choses pour vendre son budget marketing à son boss, mais la clé réside dans la mise en avant de 3 arguments majeurs

Le ROI (présentez des retours chiffrés ou des exemples d’autres organisations)

Le temps nécessaire pour atteindre les résultats durables

La régularité et la synergie entre les typologies d’actions qui en assurent le succès

Besoin d’aide pour construire votre stratégie marketing et la décliner en plan d’actions chiffré ? Contactez-nous !


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chat gpt en entreprise

Fiche de lecture : Chat GPT en Entreprise ou comment mieux comprendre l’intérêt de l’IA générative

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Vous hésitez à vous lancer sur Chat GPT ? Ou comme beaucoup, vous avez tenté de dompter la bête et travaillez avec ? Quelle que soit votre maturité, le livre de Matthieu Corthesy « CHATGPT en entreprise » apporte un éclairage super intéressant sans être technique (et donc il n’est pas chiant !). Comme nous sommes sympas, nous vous partageons la fiche de lecture de ce livre (réalisée sur Linkedin sur le sujet de Chat GPT en entreprise) que nous trouvons très bien fait pour comprendre les principes de l’IA générative.

Nous y avons ajouté notre point de vue sur l’utilisation des éléments intéressants pour le marketing et la communication. Bonne lecture

Important : Chat GPT a évolué depuis l’écriture de ce livre au regard des limites mais les principes et la philosophie restent identiques.

Épisode 1 : Ce que vous pouvez demander (ou pas) à Chat GPT 3.5

Dans Chat GPT, il y a GPT pour Generated Pretrained Performer. Il a été nourri puis entrainé avec de grandes quantités de texte venant d’internet notamment, par de vrais humains (sujet polémique vu la faible rémunération des « trainers »).

Point sombre : la protection de vos données qui servent à l’entrainer et dont l’utilisation n’est pas claire … L’Europe a pris les choses en main avec une loi mais dans le doute, vous pouvez désactiver l’historique.

Avant toute chose, connaissez les limites de Chat GPT 3.5 :

  • Il s’arrête en 2021 (limite qui a disparu avec la nouvelle version)
  • Il a des hallucinations : il entraîné comme un stagiaire qui doit donner une réponse. Quand il ne sait pas, il évalue la réponse la plus probable et non la plus juste. Bon, en gros… il invente.
  • Il a une mémoire limitée :  il traite max 3000 mots (inclus prompt et réponse). Résultat : il peut oublier le début de la conversation
  • Il a des biais politiques et culturels liés à ses créateurs

Bref vous ne pouvez pas demander à Chat GPT en entreprise :

  • Des infos après 2021 (limite qui a disparu avec la nouvelle version)
  • Des citations de personnes célèbres (quasi toutes inventées)
  • De citer ses sources
  • De travailler sur des données sensibles
  • De se souvenir des conversations précédentes

Pour pallier ses limites, il faut (et cela même pour les versions plus récentes de Chat GPT) :

  • Vérifier les faits réels
  • Bien cadrer les demandes avec un contexte clair et des contraintes (épisode 2/4)
  • Lui poser des questions pour s’assurer de l’exactitude des résultats
  • Lui demander de résumer la conversation si elle dure
  • Recommencer la conversation

Voici quelques bonnes idées pour mieux travailler avec cet outil

  • Utiliser le navigateur Edge et son Copilote qui intègre ChatGPT 4.0 et encore mieux le nouveau ChatGPT 4o , connecté à internet et gratuit, il cite même ses sources (voir dernier paragraphe de cet article de blog)
  • Utiliser la version payante (pas d’utilisation de vos données, plus de tokens et plug in performants)
  • Utiliser des outils intégrant de l’IA (Copy.ai, Midjourney etc.) !

En résumé : l’IA n’est pas magique mais technologique.

CHAT GPT EN ENTREPRISE

 

 

Épisode 2 : dompter les prompts Chat GPT

Que vous fassiez partie des 68% qui utilisent Chat GPT et le cachent à la hiérarchie (IFOP Atlan 2023) ou que vous soyez décomplexé sur le sujet, vous avez probablement été confronté à la difficulté d’utiliser Chat GPT en entreprise et d’échanger efficacement avec lui. Bref à pratiquer le Prompt Engineering.

Définition d’un prompt

Le prompt est une phrase ou un texte saisi par l’utilisateur pour initier une conversation avec ChatGPT. Pour un prompt simple – quelle est la capitale de la France ? – la question sera vite répondue ! En revanche, si vous êtes trop générique, vous devrez cadrer Chat GPT pour l’aider à répondre au mieux.

CHAT GPT EN ENTREPRISE

chat gpt en entreprise

 C’est là que la méthode ACTIF (VE) intervient

7 éléments constituent l’essence d’un prompt de qualité.

  • Action: tâche à réaliser
  • Contexte: cible, exemples, contraintes (nb de mots, style, etc.), problématique, objectifs, bonnes pratiques, mots clés, méthodes
  • Tonalité: style d’écriture (informatif, direct, empathique etc.)
  • Identité: rôle à suivre (tu es un directeur marketing, tu es un éditeur de logiciel RSE, etc.)
  • Format: résultat attendu pour éviter de retravailler et le forcer à être concis

Et aussi, pour améliorer significativement le résultat

  • Validation: améliorations
  • Étapes: définition de processus

Quelques astuces pour mieux prompter

  • Préciser le rôle, le niveau (expert, débutant) et des modèles : Plan Aida, SWOT, etc.
  • Être directif et fixer les contraintes
  • Donner la tonalité de façon précise (informatif, humoristique, persuasif, en s’inspirant de Star Wars, etc.)
  • Indiquer clairement le format attendu : plan de formation, personae, tableau, etc.
  • Valider le résultat par étape (ex : pour répondre tu passeras par 3 étapes à la fin de chaque étape tu me poseras des questions et demandera ma validation, l’étape 1 est etc…)
  • Utiliser la chaîne de réflexion en décomposant les tâches complexes en étapes
  • Faire des messages de suivi (follow up) pour améliorer le résultat : sur la base des résultats peux-tu …

En résumé : « Shit in Shit out ». Si vous promptez mal, le résultat sera décevant voir mauvais…

 

Épisode 3: tout ce que vous pouvez faire avec Chat GPT en entreprise

Allo quoi ? Tu fais du marketing et tu n’as jamais demandé à Chat GPT de rédiger pour toi ou de créer une image (souvent toute moche) ?

chat gpt en entreprise

Chat GPT sait faire plein de choses et vous êtes déjà nombreux à lui demander pas mal de choses mais plus sérieusement comment l’apprivoiser au quotidien ?

Quelles forces de Chat GPT peuvent être utilisée pour votre activité ?

  • Analyser et synthétiser
  • Rédiger dans un contexte précis
  • Donner des idées
  • Corriger et compléter
  • Générer des idées nouvelles
  • Conseiller
  • S’inclure dans une automatisation
  • Traduire

Que pouvez-vous déléguer à Chat GPT en entreprise ?

En priorité, des tâches qui traînent dans votre agenda et qui sont généralement importantes mais pas super urgentes telles que :

  • L’analyse et la rédaction d’e-mails de réponse
  • La planification de votre journée de travail
  • La préparation d’une réunion avec une synthèse de notes et des idées pour vos diaporamas
  • Des tableurs et des calculs
  • La prise de décision en s’appuyant par exemple sur un modèle comme le SWOT
  • La création de plans de formation
  • et bien sûr la rédaction de contenu à condition de veiller à ne pas être trop générique ou trop enjoué et à cadrer avec des plans types ou des méthodes (AIDA, PAS, etc.)

Voici également un aperçu de ce que vous pouvez faire pour le marketing, le développement commercial ou la formation:

  • création de personae et analyse de parcours clients
  • benchmark
  • création de campagnes d’inbound marketing
  • plans d’actions
  • plan de cours
  • gestion de crise
  • calendrier de contenu
  • post LinkedIn
  • mots clés(SEO) et hashtag(entre autres)

En résumé : « oublie que t’as aucune chance, fonce, sur un malentendu ça peut marcher ! « .

Bref…Lancez-vous, vous pouvez faire bien plus ce que vous pensez !

Chat GPT en entreprise : cas d’usage pour le marketing

chat gpt en entreprise

  • Création des personae
  • Analyse du parcours client
  • Premier niveau de stratégie ou de plans d’actions , trame de campagnes (inbound SEA SEM)
  • Collecte de données marché et analyse de type SWOT PESTEL forces de PORTER etc.
  • Génération d’ un premier niveau de remplissage des matrices
  • Analyse de la concurrence via des Battle card
  • Rédaction d’un énoncé de mission ou un brief
  • Résumé et synthèses d’ateliers, préparation de pitch
  • Rédaction d’e-mails : bienvenue, suivi ,relance etc.

Chat GPT en entreprise : réseaux sociaux, contenu et SEO

  • Analyse performance RS
  • Rédaction de posts à partir de docs existants rédaction réponse commentaires
  • Plan de contenu et de community management
  • Calendrier de contenu
  • Gestion de crise : plans d’actions communication interne et externe
  • Rédaction et révision d’articles de blogs, études de cas, ebook, landing page, livre blanc , script vidéo et podcast, script webinaire
  • Révision et amélioration et optimisation de l’existant (titre, tournure, etc.)
  • Optimisation SEO : Rédaction titre SEO, optimisation contenu existant, rédaction d’un guide , proposition de MOTS clés et de #, rédaction de balises Meta, analyse performance SEO
  • Audit site web

Chat GPT en entreprise : Cas d’usage formateur

chat gpt en entreprise

  • Déroulé pédagogique
  • Plan de formation
  • Convocation
  • Génération des QCM
  • Création d’activités : activité sur les probas test d’entrée en formation
  • Création d’un cours, d’un atelier, d’un guide

Cas d’usage en développement commercialchat gpt en entreprise

  • Liste de prospects
  • Stratégie de développement
  • Amélioration de la proposition de valeur
  • Analyse des ventes
  • Rédaction s’e-mails réclamations
  • Rédaction enquête de satisfaction
  • Analyse enquête
  • Réponse à des questions sur des produits

Épisode 4 comment intégrer (en vrai) Chat GPT en entreprise ?

Que nous apprend le livre de Matthieu Corthesy à ce sujet ?

Il faut apprivoiser l’IA.

chat gpt en entreprise

Nous avons intérêt à supporter et accompagner l’IA. Les processus d’intégration sont longs et il ne faut pas s’attendre à des résultats immédiats. L’IA nécessite une phase d’évaluation. Et oui, elle peut faire peur et il ne faut pas le négliger. Il existe façons d’utiliser Chat GPT en entreprise :

  • L’IA brute de décoffrage (version gratuite)
  • Les outils qui intègrent de l’IA (Jasper, Midjourney, etc.)
  • La version payante de ChatGPT
  • L’automatisation en intégrant l’IA à son SI et/ou son offre

Parenthèse de consultants en marketing et développement commercial : l’IA peut booster vos services et produits (comme l’appli Hopla de Carrefour pour faire ses courses avec ChatGPT) mais n’autorise pas à négliger les bases du marketing produit et à zapper l’adéquation offre/marché… voilà voilà…

L’automatisation fait gagner en efficacité car par défaut l’IA n’est pas intégrée.

Des outils tiers comme Zapier et Make sont utiles pour créer des scénarios d’automatisation en se connectant à Chat GPT via une clé (OpenAI API Key) (pas d’utilisation des données pour apprentissage) .

Zoom sur la méthode SPARK d’Alex Velinov pour réussir l’automatisation de l’IA dans votre  entreprise et mettre en oeuvre une utilsiation plus poussée :

  • Spot potential = définir le potentiel
  • Pick appropriate models = sélectionner les outils
  • Apply = paramétrer, personnaliser et intégrer
  • Ready the team= former et communiquer (interne/externe)
  • Keep évaluating progress= évaluer et optimiser avec des KPI

Voici deux bonnes idées pour commencer : Créer une bibliothèque de prompts partagée et créer son propre chatbot en s’appuyant sur les GPTs.

Bon à savoir : les GPTs sont vos amis

Depuis la parution du livre, Open AI met à disposition des GPTs qui permettent de créer des versions personnalisées de ChatGPT pour certaines tâches (qui peuvent être partagés).

Ex : CanvaGPT, ConvertAnything, GPTJobs, Image Copy Machine GPT, Grimoire, Quality SEO Analyzer, etc.

Ils sont accessibles via la version payante (voir ci-après)

Les différentes versions de Chat GPT :

  • Gratuit : 4.0 et 4o en illimité
  • Plus (20$/mois) : ChatGPT 4.0, GPTs et outils avancés
  • Équipe (25 $/mois/pers) : moins de limites de ChatGPT 4.0, création de GPTs, console d’admin, données exclues de l’entrainement.
  • Entreprise (sur mesure) : + sécurisée et + puissante

En résumé : il y a un vrai potentiel pour l’entreprise et ses parties prenantes à condition de prendre l’IA au sérieux et de s’y investir.

Maintenant, il n’y a plus qu’à …

 

Jusque-là cet article a été rédigé sans IA à partir du livre de Matthieu Corthésy

Epilogue

La version 4-o de Chat GPT est disponible depuis mai 2024. Nous avons demandé au GPT WriteForMe ce qu’elle apporte aux marketeurs. Voici sa réponse :

ChatGPT 4-o : La Nouvelle Génération de l’IA pour le Marketing

Qu’est-ce que Chat GPT 4-o ?

ChatGPT 4-o est une version optimisée de ChatGPT 4, conçue pour répondre encore mieux à vos besoins marketing avec des performances accrues et des fonctionnalités enrichies :

  • Performance supérieure : réponses plus rapides et précises pour une meilleure réactivité.
  • Compréhension contextuelle avancée : maintien du contexte sur des conversations longues, permettant des interactions plus cohérentes et pertinentes.
  • Réponses plus naturelles : génération de textes encore plus fluides et naturels, améliorant l’engagement des utilisateurs.

Différences entre Chat GPT 4 et Chat GPT 4o

  • Vitesse : ChatGPT 4-o offre des temps de réponse réduits, améliorant l’efficacité des interactions.
  • Précision : Algorithmes optimisés pour des réponses plus exactes et pertinentes.
  • Fonctionnalités Améliorées : Intégration de nouvelles capacités pour mieux s’adapter aux besoins spécifiques de votre stratégie marketing.

Différences entre versions payantes et gratuites

Version Gratuite : Version Payante :
 

·       Accès aux fonctionnalités de base de ChatGPT

·       Limitation sur le nombre de requêtes et la vitesse de traitement

 

·       Accès prioritaire aux dernières mises à jour et aux améliorations continues

·       Support client dédié pour une assistance personnalisée

·       Capacité de traitement accrue pour gérer un volume élevé de requêtes

·       Fonctionnalités avancées pour des besoins marketing spécifiques, comme l’analyse de sentiment et la génération de contenu ciblé.

 

 

 En résumé (nous reprenons la main dans l’écriture)

La version payante est plutôt adaptée pour les entreprises et les utilisateurs avec des besoins avancés et intensifs et qui cherchent de la performance, du support, de la sécurité et des fonctionnalités.

Perso, j’ai opté pour la version payante que je trouve plutôt performante avec ses GPT qui vont bien.

Il y a beaucoup d’autres outils à découvrir :

  • Claude d’Anthropic pour le contenu,
  • Midjourney pour la génération d’images (même si l’ergonomie Discord laisse encore à désirer),
  • Perplexity pour les recherches,
  • com permet d’accéder aux principales IA du moment ce qui est intéressant pour tester et faire son choix !

N’oubliez pas : il n’y a pas de recette miracle. Vous devez faire vos classes sur le sujet (expression que les < 30 ans ne peuvent pas connaitre).

Et vous ? Avez-vous testé ChatGPT-4-o ? Une autre IA ?

Si vous souhaitez échanger avec nous sur ce sujet ou en savoir plus sur comment exploiter l’IA dans vos offres, contactez-nous !


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créer un plan D'actions

Du mal à passer à l’action ? Voici comment créer un plan d’actions et passer de la tête aux jambes

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Les entreprises que nous accompagnons soulignent souvent que nous les aidons à passer à l’action en leur donnant l’impulsion qui leur manque. Nous n’avons pas de baguette magique, juste une méthode et un outil : le plan d’actions et son combo gagnant, l’association d’objectifs à des actions concrètes et réalisables ! Si vous avez du mal à passer à l’action, voici comment créer un plan d’actions pour vous aider à traverser la rivière.

Créer un plan d’actions, pour quoi faire ?

Pour traverser la rivière jette ton chapeau de l’autre côté de la rive …

créer un plan d'actions efficace

Le plan d’actions vous aide à passer de l’autre côté de la rivière.

Un plan d’actions est un document interne aux entreprises qui définit une stratégie à appliquer pour arriver à un résultat voulu.

Il priorise les actions en fonction des objectifs et crée un cadre pour atteindre les objectifs.

Il peut s’appliquer à toutes les problématiques identifiées par une société (organisationnel, prise de risques, plan marketing, prévention des risques, etc.)

Grâce au plan d’actions, vous allez :

  • Poser des objectifs en termes d’ACTIONS pour décliner la stratégie de l’entreprise de manière opérationnelle
  • Affecter des RESSOURCES et ainsi optimiser l’affectation des ressources commerciales sur des cibles choisie
  • Impliquer les ACTEURS en responsabilisant tous les intervenants concernés
  • Définir des indicateurs de MESURE avec une notion de progrès continus

La puissance du plan d’actions réside dans l’association d’objectifs avec des actions formalisées car il:

  • Agit sur la cause et non sur le symptôme en engageant sur les mots
  • Réunit une équipe autour d’un même objectif et définit quand qui comment
  • Développe la culture solution et l’amélioration continue
  • Responsabilise

Mais alors comment faire pour créer un plan d’actions ?

Le plan d’actions vous permet de disposer d’un document de référence pour le suivi des actions et leur avancement.

Il regroupe des actions par grandes thématiques en y affectant :

  • Des moyens financiers, humains et techniques
  • Des priorités
  • Des échéances et des délais
  • Des indicateurs de suivi.

Il s’inscrit en trois phases : l’élaboration, la mise en œuvre puis le suivi et l’évaluation.

Que mettre dans mon plan d’actions ?

créer un plan D'actions

Étape 1 : Définir des objectifs précis et mesurables

Les objectifs sont la clé de la réussite.

Pour définir vos objectifs, vous devez les formaliser avec des éléments clés qui en assureront la crédibilité et le réalisme.

Vous pouvez utiliser la classique mais toujours efficace méthode SMART :

  • SPECIFIQUE : Rédigé de façon simple et concise sur un sujet précis
    et concret
  • MESURABLE : Détermination d’indicateurs sans équivoque
  • AMBITIEUX : Implique un effort et un engagement
  • REALISTE : Moyens et compétences ainsi que le contexte
  • TEMPOREL : Défini dans le temps (Durée, échéances, étapes éventuelles…)

créer un plan d'actions avec smart

Exemple d’objectif SMART : publier un post LinkedIn par semaine pendant un mois à partir de mardi prochain

Vous pouvez aussi utiliser la méthode SUR (Spécifique Ultra facile Réalisable).

Étape 2 : Lister vos actions identifiées et à venir

Vous devez garder la cohérence entre les actions et disposer d’une vision globale de l’ensemble de vos objectifs. Groupez les actions par grandes thématiques

Simple, Basique.

🎯 Étape 3 : Prioriser (ou comment choisir le bon chemin)

Cette étape permet de savoir où mettre votre énergi. Vous pouvez vous inspirer de deux méthodes :

  • La bonne vieille matrice d’Eisenhover (importance/urgence)
  • La matrice QuickWin (🙏 @carol Picon) qui apportent 2 critères intéressants (impact/effort)
  • Matrice_Einsenhover_Ajem

Matrice_Quick_Win_Ajem

Etape 4 : attribuer des moyens humains, techniques et financiers

Déterminez les compétences requises et leurs disponibilités en interne et en externe, les outils, les budgets et les financements.

  • Moyens humains
    • Compétences requises
    • Disponibilité des ressources en interne
    • Intérêt de le réaliser ou non en interne
    • Recruter, former et/ou externaliser
  • Moyens techniques
    • Outils (de gestion, CRM, de communication, etc.)
    • Supports
  • Moyens financiers
    • Budget affecté
    • Évaluation du coût (devis)
    • Financement

 Étape 5: Définir les rôles et responsabilités

Qui fait quoi ? Pour chaque action, identifiez un responsable et des acteurs. Privilégiez une responsabilité interne pour le cœur de métier et évaluez ce que vous devez laisser en interne ou externaliser, en général en fonction de la nature de l’action. Si elle relève du cœur de métier, privilégier l’interne. Si c’est une expertise privilégiez l’externalisation (marketing, expert-comptable, Community manager etc.).

Étape 6 : Se donner des échéances réalistes

Vos échéances doivent tenir compte des étapes précédentes, des priorités, des moyens affectés et des plannings et être… atteignables ! Cette étape est souvent remplacée par le célèbre ASAP (as soon as possible) qui ne signifie rien et ne vous permettra pas de jeter votre chapeau de l’autre côté de la rive…

Étape 7:  Définir des indicateurs

Last but not least !

Les KPI sont souvent les parents pauvres des plans d’actions alors même qu’ils permettent d’en mesurer la réussite. Plan Do Check Act… La célèbre boucle de l’amélioration continue passe par la mesure de la performance. Elle eput être simple (l’indicateur pour la création d’un site web est sa mise en ligne) ou plus large (nombre de visites sur un site web, nombre de leads générés, etc.).

Et vous ? Comment faites-vous pour passer à l’action ? Quels sont vos recettes secrètes ?

Si vous avez besoin d’être accompagné  sur ce sujet pour votre stratégie commerciale et marketing, contactez-nous !


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rédaction de témoignages clients

Rédaction de témoignages clients : le jeu des 7 erreurs (à ne pas commettre)

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Quand il s’agit de générer du contenu, la rédaction de témoignages clients  (ou case studies ou études de cas ou success stories) se révèle un outil à forte valeur ajoutée. Encore faut-il l’utiliser avec pertinence et proposer un contenu de qualité, valorisant pour l’entreprise et son client et permettant à vos clients et futurs clients de s’identifier.

Erreur n°1 : Penser la rédaction de témoignages clients sans stratégie globale

Vos clients sont vos meilleurs commerciaux alors pourquoi ne pas le faire savoir ? En effet, un client qui témoigne et raconte sa collaboration avec une entreprise est forcément un client satisfait. Une fois que l’on a dit cela, on n’a pas tout dit…

En effet, la rédaction de témoignages clients doit faire partie d’une stratégie globale de génération de contenu qui visera toujours à promouvoir l’expertise de vos clients et servir vos objectifs marketing et commerciaux. Vos cas clients sont aussi source d’inspiration pour les tribunes d’expert, des référentiels de bonnes pratiques ou des prises de paroles (webinairs, ateliers lors de salons) que vous animerez. Pensez global !

Erreur n°2 : Négliger la qualité du contenu

Au-delà de la simple mise en avant des produits et services, il s’agit aussi de permettre à vos clients de se projeter dans l’histoire d’autres professionnels et de lire un retour d’expérience qui leur apportera à la fois de l’information et des idées. La qualité du contenu est essentielle à la réussite de vos témoignages clients car ils doivent avant tout séduire vos lecteurs et leur donner envie de vous contacter pour en savoir plus. La rédaction de témoignages clients doit être pertinente, raconter une histoire (intéressante de préférence) et apporter « de l’eau au moulin » autour de la thématique abordée. Ainsi un témoignage d’un e-commerçant sera intéressant pour ses confrères s’il peut raconter l’histoire de sa réussite, la mise en place d’un nouveau logiciel de supervision pourra intéresser un responsable de production informatique si le témoignage permet de faire ressortir les erreurs à ne pas commettre dans la gestion de son projet, etc.

Erreur n°3 : Réduire la rédaction de témoignages clients à des citations très gentilles ou à un simple avis client

Un cas client n’est pas une citation, ou un avis client ou un carton de remerciement. Écrire que « Whaou ils sont super dans cette entreprise et le produit il est vraiment top! », ce n’est pas rédiger un cas client…

Ce qui intéresse un lecteur potentiel c’est la problématique qu’avait le client avant de se lancer dans son projet, quels ont été ses critères de choix, comment il a mené son projet, quels bénéfices il en a tiré et quelles sont les perspectives… Il faut aussi et surtout citer le client, le faire parler avec des citations relativement longues où il racontera SON projet, vu et surtout vécu par lui-même. Pas par votre entreprise.

Erreur n°4 : Ne voir que la référence client

Avoir une belle référence client c’est bien. Avoir un projet intéressant à raconter avec ce client, c’est tout de même mieux. Il est donc important de bien choisir les cas clients et de parfois privilégier des entreprises moins connues mais dont le projet est réellement intéressant à raconter plutôt que de citer un projet de faible envergure et à faible impact réalisée dans une grande entreprise.

Erreur n°5 : Ecrire un témoignage client et pis c’est tout…

Les témoignages de vos clients peuvent prendre plusieurs formes : le rédactionnel sous forme de publireportage, l’interview, la participation à une conférence mais aussi une vidéo qui aura le mérite d’être très complémentaire à un rédactionnel et plus visuelle. Il s’agit ensuite de le diffuser et d’en tirer le meilleur parti !

Le témoignage client – rédactionnel ou vidéo – peut être intégré dans le kit d’outils d’aide à la vente pour les commerciaux, être exploité aisément par les attachés de presse sous forme de communiqué de presse de type « retour d’expérience » mais aussi mis en ligne sur votre blog votre site web, sur les réseaux sociaux (viadeo, facebook…), dans vos newsletters, etc. Et bien sûr, vous pouvez demander à vos clients d’intervenir lors de conférences et autres « speaking opportunities ». Ce sont également de très bons outils pour réaliser des campagnes d’inbound markéting ou d’ABM.

Erreur n°6 : Penser le projet uniquement autour de la rédaction de témoignages clients et/ou du tournage

La prise en charge complète du projet couvre un certain nombre d’étapes indispensables, qui peuvent, sans méthodologie, s’avérer aussi laborieuses que chronophages :

  • La définition du contenu du témoignage : ligne éditoriale (quel style choisit-on, interview ou rédactionnel, video et/ou papier et numérique…), format du reportage si ce choix a été fait (type JT, video…), charte graphique…
  • La demande d’autorisation auprès du client : prise de RDV, création des outils de communication (mails, lettres), organisation des interviews en interne (commercial, responsable du compte, technicien…) et chez le client, par téléphone ou en face à face
  • La rédaction et le montage : rédaction des documents, montage, mise en page
  • La validation finale en interne, auprès de l’interlocuteur puis de la direction de la communication

En résumé, sans méthodologie ni vision globale du projet, point de salut.

Erreur n°7 : Oublier que sans l’autorisation du client, vous ne pouvez rien faire…

Rédiger vous paraît peut-être le plus difficile, détrompez-vous ! Obtenir les autorisations et fixer les rendez-vous pour réaliser les interviews est souvent très long et complexe.

N’oubliez pas de valider l’accord de votre interlocuteur avant d’enclencher le projet et surtout validez que vous disposez des autorisations des directions de la communication ou des dirigeants de l’entreprise qui témoigne.

Pensez à aider votre interlocuteur à obtenir les autorisations en interne en lui adressant un mail récapitulatif qu’il pourra ensuite transférer à ses responsables. Rédiger et ne pouvoir publier, ce serait vraiment « ballot » …

Envie de savoir comment faire ?

Deux solutions :

  • Vous former avec nos rédacteurs professionnels !
  • Nous contacter pour nous confier vos témoignages clients !

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ALIGNEMENT sales marketing

Alignement Sales Marketing : vers la fin du « je t’aime moi non plus » ?

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En tant que consultant expert en marketing, nous sommes intimement conscients de la relation parfois tumultueuse entre les départements des ventes et du marketing au sein des entreprises. L’alignement Sales Marketing reste un vrai sujet pour les directions d’entreprise.

L’histoire qu’aime à raconter de Stéphanie est celle de la jeune chef de produit qu’elle était et qui détestait les réunions avec les commerciaux…

« Nous nous prenions la tête, nous étions incapables de nous parler sans que cela finisse avec de la cervelle sur les murs et tous les chefs de produit de l’équipe ont rêvé au moins une fois de les incruster dans le mur … »

Devenue Directrice Marketing, la question s’est posée différemment et avec son homologue à la direction commerciale, elles ont réussi à faire du bon travail : avec un peu d’avance sur ce qui se passe à présent, elles ont « aligné » les sales et le marketing !

Cette histoire résonne probablement auprès de nombreux directeurs marketing et chefs de produits, rappelant des souvenirs de tensions et de conflits passés.

Cependant, cette dynamique peut changer. L’alignement entre les ventes et le marketing est désormais plus réalisable que jamais.

Les 6 règles de l’alignement Sales Marketing : c’est un peu comme dans un couple !

En effet comme dans les vieux couples il faut faire des efforts chaque jour

Travailler toutes les deux, main dans la main (en regardant dans la même direction)

Cela commence en amont car il ne s’agit pas de demander l’avis de tous mais de construire ensemble pour répondre à des objectifs communs.

Il est crucial de souligner que le succès de cette collaboration réside dans une approche proactive et collaborative. Travailler main dans la main dès le début permet d’établir des objectifs communs et de co-construire des stratégies qui répondent aux besoins du marché et des clients.

Prendre conscience que l’un ne va pas sans l’autre (et oublier les silos)

Vous ne pouvez imaginer imaginer un camembert sans sa baguette, Peter sans Sloane, Castle sans Beckett ?  C’est pour le meilleur et pour le pire … Alors autant que ce soit pour le meilleur …

Il est essentiel de reconnaître que les ventes et le marketing sont interdépendants, complémentaires et indispensables l’un à l’autre. Cette compréhension mutuelle favorise une coopération qui se veut harmonieuse, afin de conduire à des résultats plus probants. Pour résumé, impossible de travailler en silos sous peine de perdre en performance commerciale et marketing.

Se rappeler que le client est en garde partagée (et rester focus dessus).

Oui, il est d’abord qualifié par le marketing avant de passer chez les commerciaux mais grâce à des contenus que les commerciaux doivent lire, comprendre et exploiter …

Il est donc indispensable quand on parle d’alignement Sales et Marketing de se rappeler que le client est au cœur de cette relation. Le marketing qualifie les prospects avant de les transmettre aux ventes, mais les informations et les contenus fournis par le marketing sont essentiels pour que les commerciaux puissent conclure des ventes fructueuses.

Bref il s’agit de rester focus sur le client plutôt que sur « tout ce qui nous sépare » comme chantait Jil Caplan dans les années 90.

Se donner les moyens de réussir (et donc collaborer au quotidien)

Mettre en place réunions, outils partagés, échanges réguliers, bref mettre en place des outils et renouveler le quotidien est indispensable.

Pour faciliter cette collaboration, il est nécessaire de fournir les outils et les moyens appropriés. Des réunions régulières et interactives (pas basées sur des powerpoints et des annnonces de pipeline), des outils partagés et une communication fluide sont essentiels pour maintenir cette relation sur la bonne voie et favoriser une efficacité partagée.

Développer un respect mutuel (sans égo démesuré)

Il est indispensable de se rappeler que le client (comme les mômes) a besoin des deux : personne ne vous demandera jamais de choisir entre votre père et votre mère.

Le respect du travail de l’autre est le pilier fondamental de cette alliance. Reconnaître la valeur et l’expertise de chaque département contribue à renforcer la confiance et à favoriser une coopération fructueuse.

Garder son jardin secret (et ne pas courir deux lièvres à la fois)

Chez AJEM Consultants, nous ne sommes pas fans des directions communes. Un directeur marketing et commercial ne doit pas être tiraillé entre atteindre ses objectifs commerciaux et finaliser ses actions marketing … On ne le dira jamais assez : commercial et marketeur, e n’est pas le même métier!

Il est important de conserver une certaine autonomie. Les directeurs marketing et commerciaux doivent être libres de poursuivre leurs objectifs respectifs tout en contribuant à l’objectif global de l’entreprise. Un équilibre entre autonomie et collaboration est essentiel pour maintenir une relation saine et productive.

Bref question alignement Sales Marketing : Amoureux mais pas fusionnels non plus …

En conclusion, l’alignement entre les ventes et le marketing est une entreprise complexe mais gratifiante. En suivant les principes de collaboration, de compréhension mutuelle, de centrage sur le client et de respect, les entreprises peuvent surmonter les tensions passées et construire une relation solide et durable entre ces deux départements essentiels.

Envie ou besoin d’aller plus loin ? Contactez-nous pour mettre en place un accompagnement de vos équipes et une nouvelle organisation plus collaborative et un alignemet sales marketing sous forme de coaching, de recommandations, de plans d’actions ou de formation.


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vendre la stratégie de contenu à son boss

Vendre la stratégie de contenu à son boss en 6 étapes : le guide ultime

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En tant que responsable de contenu ou directeur marketing, vous savez à quel point une stratégie de contenu bien exécutée peut transformer la visibilité et l’impact de votre entreprise. Mais, comme pour beaucoup d’autres professionnels, vous risquez de rencontrer une résistance lorsqu’il s’agit de convaincre votre boss d’adopter cette stratégie. « Une stratégie de contenu ? Mais qu’est-ce que c’est ? Et surtout, quel est le ROI ? » Voici quelques outils pour vendre la stratégie de contenu à son boss, en anticipant les objections et en fournissant des arguments solides pour obtenir tout le soutien dont vous avez besoin !

1. Préparer le terrain : savoir de quoi on parle et où on va …

Avant même de se lancer dans une grande présentation super belle et bien animée, il est crucial de bien comprendre les attentes de votre boss et de les anticiper. Souvent, les directeurs ou responsables ont une vision très axée sur les résultats concrets à court terme. Or, la stratégie de contenu, c’est tout le contraire : c’est du moyen voire long terme… Il est donc important d’expliquer la stratégie de contenu de manière simple et efficace.

Vous : « Je recommande la mise en place d’une stratégie de contenu pour 2024. »

Le Boss : « Une quoi ? »

Vous : « Une stratégie qui repose sur la création de contenus éducatifs, inspirants ou informatifs pour attirer, convertir et fidéliser nos cibles et fournir le bon contenu à la bonne personne au bon moment. »

L’objectif est de lui faire comprendre que cette approche n’est pas seulement « une mode » mais une technique éprouvée qui aligne la création de contenu avec les objectifs de l’entreprise.

2. Faire ses preuves et en donner : oui, le contenu est un moteur de performance

Après avoir défini ce qu’est une stratégie de contenu, votre boss se demandera probablement très vite : « Quel est le ROI ? »

C’est ici que vous devez enclencher la vitesse supérieure en mode argumenté.  Expliquez comment une stratégie de contenu bien pensée peut générer des leads, renforcer la notoriété de la marque, améliorer le référencement naturel (SEO), et, à terme, augmenter les ventes. Concrètement, un contenu bien optimisé permet d’acquérir des prospects qualifiés et d’accompagner ces prospects à chaque étape du cycle d’achat.

Vous pouvez appuyer votre argumentation avec des données chiffrées provenant d’études ou d’exemples internes à votre entreprise ou provenant de vos consultants externes :

Téléchargements d’ebooks et livres blancs : Ces contenus sont souvent des porte-drapeaux de la stratégie de contenu. Ils offrent une réelle valeur ajoutée et servent de point d’entrée pour des prospects qualifiés.

Leads générés : Chaque téléchargement ou inscription à un webinar est une opportunité d’engagement avec des clients potentiels.

Renforcement de la marque : En créant du contenu pertinent, votre entreprise devient une référence dans son domaine et gagne en crédibilité.

3. Faire face aux objections : « On n’est pas une start-up… »

À ce stade, vous pouvez rencontrer une autre résistance courante : « On n’est pas une start-up, on ne peut pas se permettre ce genre d’expérimentation. »

La clé ici est de montrer que la stratégie de contenu n’est pas une initiative réservée aux start-ups ou aux entreprises du secteur B2C. En réalité, de nombreuses entreprises B2B, même les plus traditionnelles, adoptent cette approche pour se différencier sur le marché.

Certes, vous n’êtes pas une start-up mais rien de vous empêche de prendre les bonnes idées et de se les approprier. La création d’ebooks, de témoignages clients et de webinars peut vous aider à accompagner vos clients dans la maturation de leur décision d’achat et cela se défend sans problème auprès de votre boss.

Pour vendre la stratégie de contenu à son boss, il est important de démontrer Il est important qu’elle sera une réponse aux nouvelles attentes des acheteurs, qui sont aujourd’hui plus autonomes dans leur processus d’achat. Avant même de parler à un commercial, ils se renseignent, comparent et évaluent. Le contenu joue un rôle clé dans ce processus.

4. Offrir une vision pragmatique : vendre la stratégie  de contenu à son boss oui… mais en restant réaliste et opérationnel

Une fois que vous avez fait passer le message sur l’importance de la stratégie de contenu, la prochaine question de votre patron sera probablement : « On s’y prend comment ? »

C’est là que vous devez montrer que vous avez un plan solide. Ne partez pas la fleur au fusil avec rieb dans votre besace

Un plan d’action détaillé rassure et démontre que vous avez réfléchi à la manière d’implémenter cette stratégie.

Présentez une feuille de route comprenant :

Les personae cibles : Qui sont les personnes que vous souhaitez atteindre ? Quels sont leurs besoins, leurs préoccupations, leurs questions ?

Le type de contenu : Quels formats seront les plus adaptés à vos personae (articles de blog, ebooks, études de cas, vidéos, infographies, etc.) ?

Les canaux de diffusion : Où diffuserez-vous vos contenus pour qu’ils aient le plus d’impact (site web, réseaux sociaux, newsletters, plateformes de vidéos, etc.) ?

Une ligne éditoriale : Quels messages et quel ton adopterez-vous pour que votre contenu soit cohérent avec votre marque ?

Un calendrier éditorial : Quand et à quelle fréquence allez-vous publier du contenu ?

Présenter ces éléments prouve à votre boss que la stratégie de contenu n’est pas une idée floue, mais un projet concret, bien structuré et mesurable.

5. Rassurer sur les résultats : ça va bien se passer…

Même si vous avez un plan, il est possible que votre boss hésite encore car il a besoin de s’assurer qu’il limite les risques. Le risque c’est la phrase qui tue : « on en reparle dans 6 mois… ».

C’est à ce moment que vous devez le rassurer sur les résultats à court, moyen et long terme. Une stratégie de contenu, bien qu’elle nécessite du temps pour porter ses fruits, commence souvent à montrer des signes positifs très rapidement, notamment sur le trafic web, l’engagement des utilisateurs, et les premiers leads qualifiés.

A vous de lui prouver qu’avec cette stratégie, vous verrez une augmentation progressive du trafic organique, une amélioration de votre référencement et une augmentation des conversions grâce à des Call-to-Actions. Vous pouvez avancer, sans grand risque, que d’ici 6 mois, vous aurez déjà des résultats.

6. Ne surtout pas négliger la puissance du « ROI »

vendre la stratégie de contenu à son boss

Enfin, après quelques mois, il est temps de faire le point avec votre boss sur les résultats obtenus. Imaginez qu’après la mise en place de votre stratégie, un gros client signe un contrat avec votre entreprise grâce à un ebook téléchargé ou un webinar visionné. C’est le moment de rappeler à votre boss que vous aviez raison.

Dans un futur pas si lointain, cela pourrait donner quelque chose comme :

Le boss : « Jean-Claude vient de signer un énorme client après avoir téléchargé un ebook et assisté à un webinar. »

Vous : « J’en ai marre d’avoir toujours raison ! »

Ce scénario n’est pas un rêve mais un projet réaliste si la stratégie est bien exécutée. Les entreprises qui investissent dans du contenu de qualité finissent par voir des résultats concrets.

Conclusion : pour vendre la stratégie de contenu à ton boss, sur la pédagogie, un plan d’actions chiffres et un calcul de ROI tu miseras

Convaincre votre boss de l’importance d’une stratégie de contenu nécessite pédagogie, preuve et un plan d’action clair. En expliquant les avantages, en fournissant des exemples concrets et en rassurant sur les résultats attendus, vous augmenterez vos chances de faire accepter votre projet. N’oubliez pas que chaque objection est une opportunité pour renforcer votre argumentation et montrer à quel point le contenu peut transformer votre entreprise.

Alors, prêt à convaincre votre boss ?

Si vous avez besoin d’aide pour construire votre stratégie, votre plan d’actions et même votre argumentaire pour défendre la stratégie de contenu, contactez-nous !


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créer sa semaine type

Gestion du temps : créer sa semaine type pour travailler plus sereinement et atteindre ses objectifs

Vous utilisez votre agenda, vous planifiez et pourtant vous n’arrivez pas à atteindre vos objectifs ? Vous avez toujours autre chose à faire et quand vous vous y mettez, vous êtes dérangé par maman qui appelle, le commercial qui a besoin de vos chiffres, les réunions que vous avez oubliées. Découvrez un outil de gestion du temps qui a fait ses preuves : créer sa semaine type !

Il vous permettra de travailler au bon moment et plus sereinement en positionnant les tâches les plus importantes au bon moment.

Voici 3 outils pour optimiser son organisation au quotidien en utilisant le time blocking, le time boxing et le batch timing. Cela vous permettra de gagner en efficacité mais aussi et surtout de travailler au bon moment !

Avant de se lancer pour créer sa semaine type

Avant de vous lancer, vous devez au préalable avoir compris un certain nombre de concepts et déjà mis en place plusieurs outils de la gestion du temps : 

  • Savoir prioriser vos tâches et disposer d’un outil pour gérer votre agenda et vos tâches :   vous devez vous munir d’un support pour planifier et lister vos tâches de type agenda papier ou solution numérique
  • Avoir identifié vos tâches A B et C et ce qui est vraiment important pour atteindre vos objectifs : au préalable vous devez connaître quelles sont les tâches les plus importantes pour vous permettre de prioriser correctement et placer les tâches A le matin de préférence.
  • Avoir compris le principe du TimeBoxing , du Batch Timing et du TimeBlocking : il vous connaître les outils qui vous permette de grouper les tâches similaires, placer vos tâches dans des blocs et savoir bloquer du temps pour ces mêmes tâches.

Ces outils sont indispensables pour vous lancer dans la construction de votre semaine type.

Les étapes pour créer sa semaine type

Voici les différentes étapes pour créer vote semaient type et surtout la respecter

  1. Préparer le terrain en se munissant des bons outils

Vous devez disposer de la liste des tâches à faire et surtout de celles qui sont récurrentes et reviennent d’une semaine à l’autre : tâches administratives, reporting, missions clients, réunions périodiques, management, face à face, etc.

Il vous faut votre agenda, idéalement avec des codes couleurs.

  1. Utiliser le time blocking et le time boxing

Commencez par bloquer des créneaux horaires pour planifier la semaine dans votre agenda en tenant compte de :

  • La saisonnalité (par exemple les experts-comptables sont à bloc en début d’année avec la période fiscale alors que les restaurants eux sont fermés)
  • La courbe des dérangements (quand êtes-vous dérangé par vos collègues, vos clients, votre famille, etc.)
  • Le rythme de l’entreprise (amplitude horaire, réunions etc.)
  • Votre vie perso (Pilates, théâtre, enfants à récupérer etc.)
  1. Positionner les tâches en tenant compte des principes de la gestion du temps

Regroupez les tâches qui peuvent l’être et positionnez-les dans la semaine en fonction de leur typologie (A, B ou C) en tenant compte de vos contraintes.

Pensez à positionner également vos journées de télétravail.

Pensez à vous laisser des marges de sécurité (ne pas planifier plus de 60% des activités)

Et conservez 20% pour absorber les urgences et les imprévus (qu’il y aura toujours).

La bonne idée : Vous pouvez également travailler sur deux semaines type par exemple ou sur un mois si vous êtes  parent en garde partagée ou que vous avez un rythme spécifique de télétravail.

  1. Soyez visuels et créatifs

N’hésitez pas à utiliser des codes couleurs pour vous repérer plus rapidement :

  • Bleu : coups de téléphone et RDV téléphoniques
  • Vert : Réunions
  • Rouge : Création
  • etc.

Vous pouvez également utiliser des agendas différents regroupés au sein d’un même espace (ou document) avec des couleurs différents.

Voici un exemple :

créer sa semaine type créer sa semaine type

Important : vous pouvez planifiez tout ce que vous voulez, vous aurez toujours des imprévus. C’est la vie c’est normal ! Vous pouvez vous entrainer mais ne pourrez pas

Créer sa semaine type : comment s’y prendre concrètement

Vous avez besoin de :

  • Plusieurs post its de couleurs différentes
  • Un feutre
  • Un paper board

créer sa semaine type

Appliquez-vous à dessiner votre agenda hebdomadaire en y intégrant les 7 jours.

Listez sur des papiers de mêmes couleurs les tâches qui relèvent des mêmes thématiques :

  • Enfants
  • Sports
  • RDV
  • Travail administratif
  • Tâches de production
  • Tâches de création
  • etc.

Placez vos contraintes personnelles en premier : récupérer les enfants, la danse le vendredi soir, le foot le mercredi à 18h00 etc.

Placez également vos journées de télétravail s’ils sont contraints.

Positionnez ensuite les différentes tâches en privilégiant le début et la fin de de semaine pour les taches récurrentes, d’amélioration continue et qui nécessitent peu d’interactions et le mardui et le jeudi pour les autres tâches.

Placez les tâches de type A le matin.

créer sa semaine type

Voilà ce que cela peut donner :

 

créer sa semaine type

Grâce à ces bonnes habitudes, vous pourrez réduire la procrastination, travailler de façon plus efficace et travailler au meilleur moment.

N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’information sur nos formations en gestion du temps.

Retrouvez nos autres articles sur la gestion du temps:

Gestion du temps : 3 outils pour optimiser son organisation au quotidien (et travailler au bon moment !)

Gestion du temps : 3 méthodes indispensables pour planifier efficacement ses journées et gagner jusqu’à 1 heure

Gestion du temps : Et si vider sa boite de réception mentale était le premier pas pour améliorer sa gestion du temps ?

Gestion du temps : 4 actions (simples et efficaces) à mener d’urgence pour mieux gérer sa boite mail


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outils pour optimiser son organisation

Gestion du temps : 3 outils pour optimiser son organisation au quotidien (et travailler au bon moment !)

Vous avez pris l’habitude de planifier vos activités et pourtant vous n’êtes pas encore au point ? Vous travaillez encore trop souvent dans l’urgence ou vous ne parvenez pas à finaliser vos dossiers dans les temps ? Voici 3 outils pour optimiser son organisation au quotidien en utilisant le time blocking, le time boxing et le batch timing. Cela vous permettra de gagner en efficacité mais aussi et surtout de travailler au bon moment !

Prérequis : 3 concepts à comprendre pour connaître le bon moment pour travailler

Tenir compte de votre cycle d’efficacité

Un proverbe populaire dit « L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ».

outils pour optimiser son organisation

En effet, les rythmes biologiques déterminent le potentiel d’efficacité. Même s’il existe des différences entre les individus mais il y a des points communs :

  • Un rendement maximum le matin
  • Une chute d’activité après le repas
  • Un stade intermédiaire en fin d’après midi
  • Et une décroissance et le point le plus bas après minuit

Connaître la courbe des dérangements journaliers

Au cours de la journée, la majorité des collaborateurs subit des dérangements qui sont souvent identiques.

outils pour optimiser son organisation

Vous devez repérer le rythme des dérangements en fonction de votre secteur d’activité et de votre organisation interne. Par exemple, un négoce en bâtiment sera dérangé le matin tôt par les artisans qui ont des urgences et seront plus au calme vers 10 h.

Cela nécessite aussi pour certains secteurs d’intégrer la saisonnalité comme dans le tourisme ou la restauration.

Intégrer les pauses pour rester efficace

La valeur de rendement de la concentration sur 60 minutes (moyenne) est la suivanteoutils pour optimiser son organisation

En tenant compte de ces trois points, vous allez pouvoir utiliser ces 3 outils de gestion du temps.

Outil n°1 : Le TimeBoxing pour éviter de perdre du temps sur des tâches simples et procrastiner

Vous aviez prévu une tâche sur 45 minutes qui va vous occuper tout une journée ?  Sans limites de temps, vous avez tendance à faire durer notre travail.

C’est la loi de Parkinson, « le travail augmente jusqu’à occuper entièrement le temps qui lui est affecté ».

Le Timeboxing (ou gestion par blocs de temps en français) est un outil de gestion du temps pour éviter de procrastiner et pour se concentrer sur le travail à forte valeur ajoutée.

Le concept repose sur le fait d’attribuer une durée précise à chaque tâche et de travailler par objectif

outils pour optimiser son organisation

Pour chaque « timebox » ou bloc de temps créé, il s’agit de se fixer pour objectif de réaliser cette tâche dans un temps donné. Cette méthode permet de planifier des tâches individuelles ainsi que des tâches pour votre équipe.

Outil n°2: le Batch Timing pour grouper des tâches de même nature

Le Batch Timing c’est comme le batch cooking mais en moins calorique. L’idée est de regrouper des tâches similaires pour les rassembler. Ce regroupement permet une concentration optimale et une efficacité accrue. Par exemple, cela peut fonctionner pour des coups de fil à passer, des RDV téléphoniques, des factures à générer, des e-mails à lire et traiter.

outils pour optimiser son organisation

Une fois regroupées, ces tâches seront planifiées selon la méthode Time Blocking.

Outil n°3 : le Time Blocking pour travailler de façon proactive

Le Time Blocking (gestion par blocage de temps) consiste à dédier des segments de votre journée à des tâches spécifiques pour optimiser l’emploi du temps.

Vous réservez des créneaux à des activités spécifiques et définies que ce soit pour des périodes de travail intensif, la gestion de tâches récurrentes, le sport, etc.

Plutôt que d’être dans la réaction, vous passez en mode action. Vous travaillez de façon plus proactive en définissant des plages à des activités essentielles, réduisant ainsi les effets du surmenage et du manque de déconnexion.

Voici comment procéder :

  1. Regrouper les tâches avec le batch timing (voir paragraphe précédent).
  2. Choisir les meilleurs moments pour placer les différentes tâches en fonction de chaque rythme d’efficacité et des dérangements
  3. Planifier de façon visuelle en utilisant des couleurs par exemple par typologie de tâches
  4. Tenir vos engagements et faire savoir que vous n’êtes pas disponible quand c’est nécessaire.

 

Conclusion : l’idée n’est pas de travailler plus, c’est travailler mieux et au bon moment !

Organisez votre journée selon vos cycles d’efficacité et faites des pauses courtes et régulières.

Groupez les tâches de même nature, bloquez du temps pour des tâches précises et déterminer des blocs de temps avec une durée déterminée pour des tâches bien définies.

 

Grâce à ces bonnes habitudes, vous pourrez réduire la procrastination, travailler de façon plus efficace et travailler au meilleur moment.

N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’information sur nos formations en gestion du temps.

Consultez nos autres articles:

Gestion du temps : 3 méthodes indispensables pour planifier efficacement ses journées et gagner jusqu’à 1 heure

Gestion du temps : Et si vider sa boite de réception mentale était le premier pas pour améliorer sa gestion du temps ?

Gestion du temps : 4 actions (simples et efficaces) à mener d’urgence pour mieux gérer sa boite mail

Gestion du temps : créer sa semaine type pour travailler plus sereinement et atteindre ses objectifs


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Gestion du temps : 3 méthodes indispensables pour planifier efficacement ses journées et gagner jusqu’à 1 heure

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Vous avez compris l’importance de planifier votre journée, vous avez acheté votre agenda papier ou enfin regardé les fonctionnalités de votre agenda digital mais vous ne savez pas comment vous y prendre pour tenir le rythme ? Comment faire pour planifier efficacement ses journées en gérant au mieux ses priorités ? C’est ce que nous allons découvrir dans ce blog.

8 minutes de planification = 1 heure de travail en moins ! Cela vaut le coup de planifier efficacement ses journées !

 

La règle de base dans la gestion du temps : accepter de perdre du temps pour en gagner !

L’idée est de passer du remps à planifier intelligemment et de le prévoir dans sa journée. En général en début de journée pour visualiser les temps forts de la journée mais aussi le soir avant de quitter son bureau pour vérifier ce qui a été fait et replanifier ce qui doit l’être.

Outil n°1 pour planifier efficacement ses journées : la méthode NERACaméliorer sa gestion du temps méthode neracLa méthode NERAC a un avantage majeur : elle est simple et efficace et repose sur 5 principes majeurs :

  1. Noter : Inscrivez tout ce qui est doit être fait dans la journée et pas uniquement vos RDV à savoir : Ce qui n’a pas été fini la veille, les nouvelles tâches, les communications à réaliser (téléphone, mails, courriers …), les tâches récurrentes ou à heures fixes, votre cours de Pilates, etc.
  1. Estimer : évaluez ensuite la durée qu’il vous faudra pour réaliser la tâche en question en faisant bien attention à ne pas surévaluer, ni « sur planifier ».
  2. Réserver : bloquez votre temps pour faire les tâches prioritaires (pas forcément les plus urgentes, voir paragraphe suivant) tout en vous rappelant que vous ne devez pas planifier plus de 60% de votre temps.
  3. Arbitrer : priorisez vos tâches en vous appuyant sur plusieurs méthodes : la méthode ACTE qui impose de prendre une décision sur chaque tâche, la matrice d’Einsenhover et la gestion des tâches prioritaires (voir paragraphes suivants).
  4. Contrôler : en fin de journée, pour chaque tâche vérifiez son « statut » : soit elle est finie et vous barrez la tâche de l’agenda (ô joie !), soit elle s’est réglée d’elle-même, soit elle n’est pas terminée et elle doit être reportée au lendemain. Replanifiez-la dans l’agenda.

Outil n°2 pour planifier efficacement ses journées : la métaphore des gros cailloux

Peut-être connaissez-vous la métaphore des cailloux ? Elle est souvent utilisée dans les formations sur la gestion du temps car son message est simple et reste à l’esprit.

Il était une fois… un expert renommé qui tenait une conférence sur la façon de gérer sa vie. Il propose une expérience à son public : il prend un grand bocal de verre et le remplit de gros cailloux puis demande : : « Le bocal est-il plein ? » Tout le monde répond : « Oui ». Il prend alors un sac avec des petits galets et les verse dans le bocal. Ils se placent entre les cailloux et il pose la même question : « Le bocal est-il plein ? » Tout le monde répond : « Oui ». Il prend ensuite un sac de sable qu’il verse dans le bocal et qui, bien sûr se faufile entre les pierres. Il conclut en expliquant que l’expérience en question démontre que, pour remplir le bocal, il faut commencer par les gros cailloux avant de mettre les plus petits. Bref les gros cailloux doivent être nos priorités. Bien planifier sa journée de travail, c’est donc placer d’abord ses gros cailloux dans son planning.

gestion du temps planifier efficacement ses journées 3

 

Dans nos formations, nous proposons une classification :

  • Tâches A = très important = gros cailloux = tâches primordiales qui ne peuvent être déléguées
  • Tâches B = important = galets = tâches d’importance moyenne qui peuvent être déléguées
  • Tâches C = moins important = sable = tâches avec des valeurs minimes dans votre fonction qui peuvent être déléguées ou éliminées

Pour déterminer vos tâches A, B et C, nous travaillions sur vos tâches essentielles au regard des objectifs de votre poste et de votre mission.

Outil n°3 pour planifier efficacement ses journées : la matrice d’Enseinhover

gestion du temps planifier efficacement ses journées 4Vous la connaissez tous mais vous avez déjà surement oublié son utilité. C’est un outil de gestion du temps et de priorisation des tâches permet d’arbitrer en prenant en compte deux paramètres : l’urgence et l’importance :

  • Urgent : qui ne peut pas attendre, qui présente une échéance proche
  • Important : qui a de la valeur, un intérêt, un rôle considérable pour atteindre les objectifs

Sur la base de ces deux critères, la matrice divise les tâches en quatre catégories.

Commençons par les cas les plus simples :

  • Urgent et Important : Ces tâches nécessitent une action immédiate et sont cruciales pour atteindre vos objectifs. Elles doivent être traitées en priorité. Pas de discussion sur le sujet.
  • Ni Urgent ni Important : Ces tâches ne sont ni pressantes ni significatives pour atteindre vos objectifs principaux et doivent être évitées dans la mesure du possible.

Voici à présent celles qui présentent le plus de risques :

  • Important mais Pas Urgent : Ces tâches contribuent à vos objectifs à long terme mais n’ont pas besoin d’être traitées immédiatement. Le souvent, nous avons tendance à les reléguer à plus tard et elles finissent souvent par devenir urgentes et importantes. L’idée est de les planifier (donc les mettre dans l’agenda) et de mettre des rappels, voire de les découper en plus petites tâches.
  • Urgent mais Pas Important : Ces tâches sont pressantes mais ne contribuent pas directement à vos objectifs majeurs. Elles peuvent souvent être déléguées ou évitées si possible car « il n’y a pas d’urgence, seulement des gens pressés ! ».

En classant vos tâches dans cette matrice, vous définissez sur quoi vous concentrer.

Conclusion : planifier mais planifier intelligemment si vous voulez tenir le cap !

L’objectif est de prioriser les tâches importantes et de minimiser le temps passé sur les tâches non importantes et non urgentes. Cela va vous aider à accroître l’efficacité personnelle et à atteindre des objectifs à long terme de manière plus efficace. En planifiant au bon moment les tâches les plus importantes, vous êtes plus efficace et surtout plus zen en fin de journée !

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Gestion du temps : Et si vider sa boite de réception mentale était le premier pas pour améliorer sa gestion du temps ?

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Vous avez du mal à gérer votre temps, vous vous sentez désorganisé(e), débordée ? Votre cerveau bouillonne, voire déborde ? Vous avez souvent l’impression d’avoir la tête comme une citrouille ? de ne pas savoir quelle tâche prioriser ? Comme votre boite de réception mail, vous disposez d’une boite de réception mentale qui stocke toutes les tâches et informations qui vous parviennent. Voici comment vider votre boite de réception mentale et devenir à la fois plus serein et plus efficace.

Améliorer sa gestion du temps en vidant sa boite de réception mentale : késako ?

Toute la journée, des tâches, des informations, des données nous « arrivent ». Nous les stockons dans un premier temps dans notre cerveau qui sert de de boite de réception.

A force de stocker ces informations sans en faire quoi que ce soit, elles finissent par remplir notre boite de réception mentale, qui, complètement pleine, nous empêche de réfléchir.

Nous nous mettons alors à penser à tout ce qui est dans notre tête, avec la peur de ne pas réussir à tout faire et surtout avec le sentiment de ne plus savoir quoi prioriser.

améliorer sa gestion du temps boite de réception mentale

Votre cerveau se comporte comme votre boite de réception mail. Comme elle, quand elle est remplie, elle déborde, elle sature, elle ne peut plus rien accepter, tout est en vrac …

Bref il faut la vider !

Règle n°1 : Vider régulièrement sa boite de réception mentale dans sa TO-DO-LIST

L’idée est donc de vider régulièrement votre boite de réception mentale comme vous feriez avec vos mails en prenant une décision pour chacune des tâches stockées dedans.

Comme pour votre boite mail, vous allez devoir arbitrer et décider si vous devez :

  • AGIR tout de suite : mais avant tout devez définir si c’est le bon moment pour le faire (ce sera l’objet d’un autre article de blog)
  • PLANIFIER de façon formelle en inscrivant la tâche dans votre agenda à une date donnée
  • DELEGUER si vous le pouvez et si cela se justifie
  • CLASSER ou ELIMINER (et oui certaines taches ne doivent pas être réalisées ni par vous ni par personne !)

Vous allez ainsi remettre de l’ordre dans votre cerveau, le libérer de ses contraintes en déposant ce qui l’encombre afin de réduire  le stress lié au fait que les tâches « stagnent » et ne sont pas « rangées ».

 

Vider sa boite de réception mentale c’est :

  • Libérer votre cerveau pour lui permettre de se centrer sur les tâches vraiment importantes
  • Être moins stressé car chaque information est « rangée » et à sa place (le dséordre est source de stress c’est prouvé scientifiquement)
  • Partager l’information et mieux collaborer (personne ne sait lire dans votre tête !).

Règle n°2 : planifier ses actions plutôt que de les laisser dans sa TO-DO-LIST

Vider sa boite de réception mentale va principalement consister à planifier les tâches qui y sont stockées.

Pour chaque tâche stockée  vous allez avoir prendre une décision : faire, éliminer, transmettre, déléguer ET la plupart du temps planifier !

Triez et une fois qu’il ne vous reste plus que les tâches à planifier, vous pouvez alors les mettre dans une TO-DO-LIST (papier ou en utilisant les Notes de votre smartphone ou de votre ordinateur).

Pourquoi planifier par écrit ?

  • Pour avoir une vue d’ensemble
  • Pour alléger votre charge de travail
  • Pour vous auto-motiver
  • Pour avoir une meilleure concentration
  • Pour contrôler et atteindre vos objectifs
  • Pour mieux collaborer en partageant les données

Comment se lancer ? En planifiant déjà une première journée

La journée est l’unité la plus petite pour planifier des tâches et elle est facilement supervisable

De plus, les objectifs journaliers sont plus faciles à atteindre et par là-même plus motivants.

Comment procéder ? Avec la méthode NERAC : Noter Évaluer Arbitrer Réserver Contrôler

Pour planifier commencez par vous munir de votre  TO-DO-LIST et de votre outil de planification :

La question qui tue ? Faut-il être Team digital ou Team papier ?

Les méthodes sont les mêmes, choisissez juste un outil avec lequel vous êtes à l’aise.

– Option Team digital :  vous êtes déjà équipé : votre téléphone, vos suites bureautiques (Google, Microsoft, Apple) feront l’affaire. Favorisez la synchronisation et les automatismes.

– Option Team papier : Optez pour un agenda qui vous plait. Nous vous recommandons le Clipbook de Filofax et ses recharges.

Perso, nous n’avons jamais pu choisir : nous utilisons les outils Apple ET un bon Filofax !

Ensuite optez sans hésiter pour la méthode NERAC, la meilleure solution pour améliorer sa gestion du temps et des priorités.

améliorer sa gestion du temps méthode neracNoter : Inscrivez tout ce qui est important et pas uniquement les RDV dans une To-DO-LIST (après avoir vidé votre boite de réception mentale) puis sélectionnez les tâches à accomplir en y ajoutant

  • Ce qui n’a pas été fini la veille
  • Les nouvelles tâches
  • Les délais
  • Les communications à réaliser: coups de téléphone, mails, courriers …
  • Les tâches récurrentes ou à heures fixes

Estimer : évaluez la durée qu’il vous faudra pour mener à bien votre tâche en prenant garde de

  • Ne pas surévaluer, ni « sur planifier » pour éviter la frustration
  • Gérer votre budget temps en bous imposant que chaque heure imputée doit être respectée
  • Anticiper et limiter les facteurs de dérangement

Réserver : bloquez du temps pour faire les choses mais restez souple dans votre planification car vous aurez toujours 20% de votre temps qui sera occupé par les imprévus. Comptez-les dans votre planification en ne sur bookant pas votre journée !

gestion du temps planifier efficacement ses journées 2

Arbitrer : faites des choix pour prioriser vos tâches en vous imposant d’agir, classer, déléguer, transmettre ou éliminer avec des règles d’arbitrage simples intégrant les priorités ainsi que la méthode et le moment pour agir. C’est la méthode ACTE (pour Agir, Classer, Transmettre, Eliminer).

améliorer sa gestion du temps la méthode ACTE

Contrôler : Vérifiez à postériori en rendant positive l’obligation de finir un travail en cours. En fin de journée, pour chaque tâche vérifiez son « statut » :

  • Vous avez fini, la tâche est terminée et vous barrez avec joie la tâche sur votre agenda !
  • L’affaire s’est réglée d’elle-même, vous l’effacez.
  • La tâche n’est pas terminée et elle doit être reportée au lendemain ou à une date ultérieure : vous notez la tâche dans votre agenda à la bonne date.

Et maintenant il s’agit de passer à l’action pour planifier et améliorer sa gestion du temps !

Les journées sont un perpétuel recommencement : commencer par planifier la journée de demain en utilisant la méthode du vidage de la boite de réception mentale.

Notez tout dans une TO-DO-LIST puis « piocher » dedans et planifiez chaque tâche dans votre agenda.

Votre TO-DO-LIST ne sera jamais vide mais votre esprit lui sera bien plus libre !

En commençant avec la planification d’une journée et en couplant avec le « vidage de votre boite de réception mentale » vous allez finir par réussir à remplir votre agenda !

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